quarta-feira, novembro 23, 2005

- Mes parents ne croyaient pas aux fées. Elles les ont punis en ma personne.

Lamenta Jean Marais a Josette Day, em "La Belle et La Bête" (1945).

São poesia na tela os filmes de Jean Cocteau, ele que dizia que o seu método para este filme foi simples: «ne pas me méler de poésie, elle doit venir d'elle-même». Considerava também que «un film doit distraire l' œil par des contrastes, par des effets qui ne cherchent pas à copier ceux de la nature, mais à trouver cette vérité que Goethe oppose à la réalité. (...) Chez la Bête, j' adopte une sorte de crépuscule qui correspond mal à l' heure où la Belle sort. J'enchaînerai peut-être même ce crépuscule avec du clair de lune si j' en ai besoin. Un film est une écriture en images. »

Mas a poesia é universal, como é fácil comprovar-se em "Ugetsu Monogatari" (Os Contos de Lua Vaga ), de 1953, do cineasta-poeta japonês Kenji Mizoguchi, mas também em "Ferro 3", do coreano Kim Ki-duk ...

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